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Présentation de Gilles Azzopardi (Comédien, auteur, metteur en scène, prof de théâtre) et de la compagnie LeS SPeCIMeNS

Présentation de Gilles Azzopardi (Comédien, auteur, metteur en scène, prof de théâtre) et de la compagnie LeS SPeCIMeNS et de leur univers...

Blog dans la catégorie :
Humour

 

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OK CA VA, J AI COMPRIS...
 
BON, ALORS COMME CA IL PARAIT QUE LES DERNIERS ARTICLES PARUS SUR CE BLOG NE VOUS INSPIRENT PAS, ET C EST LA RAISON POUR LAQUELLE, A MON GRAND DAM,  VOUS NE PARTICIPEZ PLUS ET NE LAISSEZ PLUS DE GROS COMS BIEN JUTEUX?

BON, BIN, DESOLE LES AMIS... JE CROYAIS BIEN FAIRE...

 ALORS VOUS VOULEZ QU ON PARLE DE QUOI...? SI, SI... JE VOUS EN PRIE, FAITES COMME CHEZ VOUS ! JE SUIS TOUTE OUIE !

 

Penurie de coms...!

Saviez vous que c'est ce film qui m'a inspiré "BUZZ OFF !" ?
Saviez vous que c'est ce film qui m'a inspiré "BUZZ OFF !" ? 
Bin alors les amis... ! Me sens tout seul ici moi... Je vois bien, sur le compteur de connections que vous passez, mais vous êtes radins en commentaires... Allez un p'tit effort ! Prenez des pseudos si ça vous gêne... Hi! Hi! Hi!

Merci Je vous kiffe, même si vous êtes discrets comme des chinois...

 

NE FAIRE QU UN A NOUS DEUX.
 

Tes yeux dans mes yeux,

Ta peau sur ma peau,

Ta bouche sur ma bouche,

Ta langue sur ma langue,

Ton souffle dans mon souffle,

Nos deux cris
à l'unissons,

Ta main dans ma main,

Ton visage dans ma tête,

Ton coeur dans mon coeur,

Mon coeur dans ton coeur

Ta voix sur mes silences,

Tes rires mêlés aux miens,

Tes peurs mêlées aux miennes.

 

Tu es mille et une fois plus belle que l'eau, rare,
qui ruisselle et qui danse pieds nus,
Sur les sables brûlants d'un désert d'Arabie.
Un mirage ou un oasis ?
Un tour de passe-passe ou un miracle?
Un remède ou un poison?
Que m'importe...
Même si ça dure le temps du vol d'un éphémère,

Ne faire qu'un à nous deux !

Et tout le reste, en fait, je n'en ai rien à faire.

 

Je suis dans tous les coups foireux, tous les naufrages... (Cf article précédent)

"LA PROVENCE" du mardi 20 novembre
"LA PROVENCE" du mardi 20 novembre 

 

UN TOURNAGE MOUVEMENTE...

Salomon, un homme innocent mais ennervé ! Nasserdine derrière la caméra L'arme du crime M. le juge ? Ca t'apprendra à foutre des gens en prison pour rien ! Dans la chambre d'hôtel, l'ambiance est plutôt morose...

Salomon, un homme innocent mais ennervé !
Salomon, un homme innocent mais ennervé ! 
Vendredi et samedi soir dernier, a été tourné à Marseille, le premier long métrage d'un jeune réalisateur (Nasserdine ) qui s'intitulera "Vois mes ecchymoses"  et qui raconte l'histoire d'un homme d'origine Africaine accusé de viol par une femme à qui il a en fait porté secours. Il se voit infliger une lourde peine de prison suivi du renvoi dans son pays d'origine (Le Libéria), pays qu'il ne connaît pas. La vie de cet homme innocent qui a tout perdu, est irrémédiablement brisé et à son retour en France, plein de haine et de ressentiments, il séquestre, dans une chambre d'hôtel le juge qui l'a injustement jeté en prison avant de se suicider devant lui. C'est pas gai, non... C'est pas gai. Et même si l'histoire est inspirée de faits réels,  c'est de la fiction! OUF... ! Ceci dit, la réalité réserve parfois des surprises, et en l' occurence, un fait surprenant, inattendu, qui aurait pu avoir des conséquences tragiques s'est déroulé lors du tournage d'une des scènes du film. Samedi, vers 20h, quartier de la Pointe Rouge à Marseille, la petite équipe de tournage est sur le plateau, une "superette", gérée par un ami de Nasserdine, le réalisateur. La scène consiste en le "bracage" du magasin, qui dérape en prise d'otages. Les acteurs cagoulés et armés doivent débouler avec le plus de réalisme possible. Les scènes sont répétées avant d'être tournées et c'est là que tout dérape... Un passant, à l'extérieur, qui fait pisser son caniche, aperçoit un drôle de manège dans l'épicerie du quartier... Des hommes masqués, armés, au teint basané voir même franchement noirs de peau pour certains, sont en train de faire razzia ! N'écoutant que son courage, le brave citoyen, qui au demeurant à cru bien faire, empoigne son téléphone portable et rameute les forces de l'ordre aussi sec ! 5 minutes plus tard, alors que la première prise est en cours, une dizaine de voitures de police viennent se positionner devant le magasin. Et des hommes, entraînés pour ça, fondent sur les acteurs qui se retrouvent plaqués au sol, menottés, un genoux dans les reins, face contre terre, un canon de 357 magnum ou de calibre 12 à pompe sur la nuque... C'est la stupeur... Ca crie dans tous les coins, la confusion règne et la tension est à son comble... Les flics croient avoir serré le nouveau gang des postiches et  nous... On a rien vu venir !  Enfin tout le monde se calme, on arrive à articuler deux phrases cohérentes, je m'extirpe de derrière les cagettes de mandarines qui m'avaient servies de refuge, on exhibe la caméra et enfin on réalise qu'il y' a eu méprise... Hoooo putain...!!!!!! De la folie pure les amis !!!! Ca fait peur des vraies armes chargées jusqu'à la gueule avec des vraies balles et quand au bout en plus il y a quelqu'un de super déterminé qui te dit, le doigt sur la gâchette, que si tu lâches pas ton arme (de carnaval) tu vas mourir... Bref ! Les flics, vexés  par cette fausse alerte aboient sur tout le monde en nous reprochant de leur avoir fait sortir le "matos" pour rien et patati, et patata... Que par notre faute c'est le bordel dans le quartier, autour de la superette cernées par les gyrophares... Et finalement  allez hop ! On embarque tout le monde direction l'évêché... ! Un beau samedi soir en perspective... Contrôle d'identité général, Nasserdine se fait tancer vertement parce qu' il n'a pas déposé de demande d'autorisation de tournage. Et finalement on nous relâche dans la nuit avec obligation de tous revenir mardi matin une fois le tournage terminé pour une dernière mise au point... La mine basse et le trouillomètre à zéro, on se retrouve tous dans la chambre d'hôtel sur le vieux port où doivent se tourner les scène de prise d'otage du juge et le suicide final de l'acteur principal... Bonjour l'ambiance.... Dimanche, vers 5h du matin, tout le monde est lessivé on rentre faire dodo...   Mardi matin on se fait sonner les cloches une dernières fois à l'évêché et vers 14h on retrouve la liberté définitivement... Coupez !
Voilà... Vous savez tout, et peut être avez vous entendu parler de cette histoire à la radio ou dans la presse... Bon, tout est bien qui finit bien me direz vous, mais bon... Tout ça, ça m'a valu de me faire virer d'un plan parce que j'ai raté une répet ce matin et en plus Jeff Carias me prend pour un mythomane... La vie est dure parfois, dure et cruelle... Mais à proportion qu'elle est belle ! Tant qu'il y a de la vie y'a de l'espoir ! Ah au fait... ! Je vous ai pas dit mais le juge c'est moi qui l'interprète...
Kisssss

 

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